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Prévention pour l'été

Prévention pour l'été
Voici quelques conseils pour passer un été serein.
Opération tranquillité vacances
Faites surveiller votre habitation par la Police municipale, durant vos congés, grâce à l’opération municipale « Tranquillité vacances » . Pendant votre absence, des patrouilles de surveillance seront effectuées, plusieurs fois par jour, afin de dissuader tout individu de tenter de cambrioler votre domicile. Plus d'informations sur le lien. Quelques conseils : prudence sur les réseaux sociaux, ne publiez pas votre adresse ni vos dates de vacances pour éviter de signaler votre absence aux cambrioleurs potentiels ; ne laissez pas vos clés à l'extérieur comme sous le paillasson ou la boîte aux lettres.
Ensemble face à la canicule
En cas de fortes chaleurs, adoptez les bons réflexes : buvez de l’eau régulièrement, mouillez votre corps et ventilez-vous, donnez et prenez des nouvelles de vos proches, ne buvez pas d’alcool, fermez vos volets le jour, mangez suffisamment et évitez les efforts physiques. En cas d’urgence, composez le 15. Les personnes âgées peuvent profiter de l’air frais de la salle n°2 de l’hôtel de ville qui est climatisée. Il est aussi possible, pour les personnes âgées, en situation de handicap ou isolées, de s’inscrire sur le registre canicule pour être quotidiennement contacté par des agents municipaux. Renseignements et inscriptions : 01 34 45 97 03 / 04.
Vigilance face aux punaises de lit
Les vacances approchent et à votre retour, les punaises de lit peuvent se cacher dans vos bagages. Lorsque vous arriverez dans votre location ou hôtel, pensez à vérifier la literie et ses abords. Lorsque vous rentrerez chez vous, ne posez pas vos bagages sur vos lits ou fauteuils, et vérifiez qu’il n’y a pas de punaises de lits dedans.
Les punaises de lit sont des insectes rampants et bruns de 5 à 9 mm à l’âge adulte qui produisent 1 à 7 oeufs par jour. Elles sont difficiles à observer car elles fuient la lumière et sortent la nuit pour se nourrir : cherchez plutôt des indices de leur présence !
Une infestation de punaises de lits se constate par la présence de :
• piqûres visibles sur la peau, souvent alignées ou groupées,
• traces de leurs déjections : petites taches noires sur le matelas, les draps, le sommier ou parfois les murs en cas de forte infestation,
• traces de sang sur les draps dues à l’écrasement des punaises lors du sommeil de la personne.
Si vous constatez leur présence et que vous vivez dans un immeuble collectif, informez immédiatement votre bailleur, propriétaire ou syndic, pour éviter leur prolifération. Pour les éradiquer, plusieurs étapes non chimiques sont à suivre. Plus d’informations sur le site de l'ARS Ile-de-France.
Attention aux moustiques tigres
Comment reconnaître un moustique tigre ?
Environ 5 millimètres, rayures noires et blanches sur l’abdomen et les pattes, pique le jour, est très agressif.
Comment agir pour se débarrasser du moustique tigre ?
La vie des moustiques tigres est liée à l’eau. L‘empêcher d’accéder à tous les contenants susceptibles d’accumuler de l’eau, c’est se garantir un été plus tranquille.
Les produits anti-moustiques (insecticides, répulsifs, pièges) ne permettent pas d’éliminer durablement le moustique tigre, en plus d’avoir un impact parfois négatif sur l’environnement. La solution efficace pour éviter sa reproduction et limiter les nuisances est de supprimer les lieux de ponte et de repos.
Voici quelques gestes simples et qui ne prennent que quelques minutes, à renouveler chez soi chaque semaine de mai à novembre. En les appliquant, vous empêchez les moustiques de vous envahir !
- Mettre à l’abri ou supprimer tous les contenants où l’eau peut s’accumuler (soucoupes pour les pots de fleurs, pneus, bâches, jouets, mobilier de jardin, pieds de parasols...),
- Vérifier le bon écoulement des eaux de pluie (gouttières, regards, caniveaux, etc.) et entretenir votre jardin (taille, débroussaillage, élimination des déchets végétaux) pour supprimer les lieux où les moustiques tigres peuvent se reposer,
- Changer l’eau des coupelles sous les pots de fleurs une fois par semaine ou les remplir de sable à ras bord pour empêcher le moustique de pondre tout en gardant les racines des plantes au contact de l’humidité,
- Étanchéifier les réserves d’eau de pluie (récupérateurs d’eau de pluie, bidons, citernes) en sécurisant l’accès à l’eau au moyen de voiles faisant office de moustiquaires (vieux rideaux...),
- Couvrir les bidons, citernes ou bassins de récupération d’eau de pluie, les piscines gonflables hors d’usage, retourner les arrosoirs et brouettes,
- Faire le tour de votre extérieur dès qu’il pleut, avant et au retour d’une absence prolongée.
Tous les acteurs (particuliers, collectivités, professionnels) doivent participer à la lutte régionale contre la prolifération de ce nuisibles dans les espaces publics et privés.
Une fois le moustique tigre installé, il est impossible de l'éradiquer. Même si vous n’en avez pas encore identifié chez vous, appliquez donc d’ores-et-déjà ces gestes simples pour limiter son implantation ou son développement et réduire sa nuisance et le risque de maladie.
Contribution citoyenne : signalez sa présence !
L'Agence régionale de santé a besoin de vous pour identifier et évaluer la densité de présence du moustique tigre sur votre secteur à une période bien définie. Cela permet d’évaluer le risque sanitaire si une personne malade (dengue, chikungunya, Zika) fréquente votre commune, afin de pouvoir mettre en place les solutions adaptées pour éviter la transmission des maladies.
Pour signaler la présence d’un moustique susceptible d’être un tigre, connectez-vous sur le portail de signalement ici.
La rage : une menace toujours présente à l’étranger – soyez vigilants !
Si la rage a disparu du territoire français chez les animaux domestiques depuis plusieurs années, cette maladie mortelle existe encore dans de nombreux pays. Il est essentiel de rappeler les bons réflexes pour se protéger et éviter toute importation du virus de la rage sur notre sol.
Une maladie mortelle pour l’Homme
La rage est une maladie virale qui se transmet par la salive d’un animal contaminé, généralement par morsure ou griffure, ou par simple contact avec une plaie, même minime. Elle est systématiquement mortelle pour l’être humain et l’animal dès l’apparition des premiers symptômes. Il est donc crucial d’agir avant qu’ils ne surviennent.
Un danger encore bien réel à l’international
Tous les cas de rage détectés en France ces dernières années proviennent d’animaux contaminés à l’étranger. Un animal peut sembler en bonne santé alors qu’il est porteur : les symptômes peuvent mettre plusieurs jours à apparaître. C’est pourquoi il est indispensable d’adopter des comportements responsables, notamment lors de séjours à l’étranger.
Une simple imprudence peut avoir des conséquences dramatiques.
Pour connaître la liste des pays où la rage est encore présente, consultez le site officiel du Gouvernement.
Les bons réflexes à adopter :
• ne caressez jamais un animal errant, même s’il vous semble amical ou en bonne santé,
• n’importez pas d’animaux depuis l’étranger, en particulier des chiots ou des chatons qui n’ont souvent pas été vaccinés.
• si vous voyagez avec votre animal, assurez-vous qu’il soit vacciné contre la rage. C’est une obligation pour passer certaines frontières et une protection essentielle pour lui comme pour vous.